Cet article fait suite à Hébergeurs et Noms de domaine: bien choisir et s’en protéger (3)
Partie III – Conclusion
- Quel hébergeur pour WordPress
- Quelques histoires d’hébergeurs
9) Points à vérifier

Idéalement, il vous faut réponse à toutes ces informations.
Certains ne seront jamais affichés dans les offres commerciales, demandez-les par écrit.
- L’hébergeur possède-t-il son propre data center ou fait-il de la sous-traitance ?
- Pouvez-vous installer et gérer votre nom de domaine acheté ailleurs ? (n’utilisez pas celui qui est inclus dans le pack)
- Si oui, sous quel forme ? Add-on domaine, gestion DNS, Multi-domaines ou Multisites (préférez le Addon domaine, vous êtes libres et c’est plus facile)
- Combien de sous-domaines ? Quel prix pour les supplémentaires?
- Prix de l’hébergement ? HT ou TTC, mensuel ou annuel, si promo combien après la promo ?
- Durée de l’engagement (en particulier si promotion, il y a toujours des clauses qui annulent le remboursement si pas satisfait)
- Où est le data center ? Dans le même pays ? (vous pouvez volontairement choisir un serveur situé très loin pour un nom de domaine international ou dans une autre langue)
- Information disponible sur le site quant aux derniers incidents techniques (transparence d’information)
- Procédure en cas de changement vers un plan inférieur ?
- Gratuité ou prix du support (HelpDesk)
- Disponibilité du support (7j/7 ou fermé le WE)
- Taille de l’Espace-Disque – Quel prix pour de l’espace supplémentaire ?
- Messagerie (combien, taille, quoique une grande taille ne sert qu’aux grandes entreprises et services publics…)
- Quelle interface technique ou panneau de contrôle (aucun, élaboré par l’hébergeur, cPanel, autre, voir leur interface démo)
- Trafic maximal autorisé mensuellement
- Bande passante réelle allouée, limites en ressources serveur CPU (en % ou en MB)
- Taux de hits par heure et mensuel permis
- Vitesse, quel temps de réponse pour accéder à votre site ?
- Accès FTP (indispensable pour gérer vos fichiers)
- Combien et taille des Bases de données MySQL (indispensable pour les sites dynamiques) – Quel prix pour des bases supplémentaires?
- Limite en taille de fichier en téléversement (upload) ou téléchargeable? Nombre de fichiers ?
- Linux ou Windows (choisir Linux)
- Url-rewritting est-il possible ? Et comment est-il exécuté ? (indispensable pour WP)
- Quel langage utilise le serveur et comment est-il interprété ?
- Quel taux de disponibilité (uptime de 99,98% minimum, soit une dizaine d’heure indisponibles par an, 99% c’est déjà 4 jours d’indisponibilité sur l’année)
- Limites des ressources du serveur (elles sont nécessaires, mais voir combien dans les CVG ou demander)
- Quel est le nombre maximal de requêtes SQL simultanées (calculer ses besoins selon nombre prévu de vos visiteurs connectés en même temps)
- Limite de transferts FTP ?
- Offre en option d’un certificat SSL (Secure Sockets Layer) pour votre boutique en ligne ? A quel prix ?
10) Quelle formule choisir ?
– Si vous n’avez besoin que d’un site vitrine en HTML, non dynamique (pas de CMS), pour y présenter une vingtaine de pages ou votre CV, nul besoin d’un pack. Prenez un nom de domaine, par exemple chez OVH qui propose un peu d’espace web associé, cela vous donne accès à 2 giga de place. Bien suffisant pour ce genre de mini site. Les prix de réalisation d’un vitrine sont moins importants que pour un site dynamique.
– Pour un petit blog ou plusieurs blogs/sites de particuliers : le mutualisé convient parfaitement, pas la peine d’investir dans un gros pack ou dans une formule illimitée. Prenez un pack de base ou moyen, choisissez si vous voulez gagner de l’argent (à condition que votre blog soit fréquenté un minimum de 200 visites par jour pour que ça serve à quelque chose). Faites marcher la concurrence et les promos. Ceci inclut les hébergements américains ou canadiens : 1and1, PhpNux, WestHost, OVH, HostPapa, Bluehost, JustHost, o2switch, Infomaniak, GoDaddy, etc. Si vous êtes très néophyte, donnez la priorité à l’hébergeur qui offre un bon support. Si vous vous débrouillez bien, presque tous les hébergeurs se valent, à condition que vous teniez compte des précautions décrites dans le chapitre suivant.
– Pour un blog moyen de professionnel, évitez les risques et les offres trop concurrentielles des grand hypermarchés de l’hébergement. Investissez un minimum et choisissez plutôt en fonction d’un excellent support et de la proximité du data center (français si vous êtes en France, US si vous démarchez en anglais, Espagnol si vous démarchez dans cette langue et vers ce pays, etc). Investissez également dans la formation par un prestataire qui vous expliquera les erreurs à ne pas commettre : Infomaniak, o2swich, Westhost, OVH en dédié, Nuxit etc. Éventuellement, faites affaire avec une société ou un indépendant qui a le même développement que vous. C’est le mieux pour marcher main dans la main et échanger vos services et intérêts sans surcouts.
– Pour des besoins plus pointus, si vous avez beaucoup de sites et noms de domaine, si vos sites sont amenés à consommer d’imporantes ressources, si vous n’avez qu’un seul site mais qu’il sera très fréquenté (plus de 5000 visites/mois) : prenez le temps de vous informer avant de choisir. Demandez conseil ici et là sur des forums spécialisés. Prenez le temps. Il faudra très certainement considérer le choix d’un serveur dédié ou d’un serveur virtuel plutôt que du mutualisé. Ceci est aussi valable si vous gérez du multi-sites en wordpress et/ou Buddypress (forums et groupes, fonctions communautaires, plateforme de blogs, radio, réseaux…).
– Si vous détestez la technique, voyez un indépendant pour souscrire un contrat tout-en-un.
Évaluez vos besoins réels pour choisir votre hébergement adéquat.
Le trafic mensuel minimum nécessaire est directement proportionnel à :
- Nombre de pages vues par chaque visiteur
- Taille en ko de chacune des pages
- Nombre de visiteurs par jour
- Transfert FTP (entrant et sortant)
- Nombre + taille mails envoyés et reçus.
Si vous installez Buddypress ou un site communautaire comme un forum, ajoutez le poids de tous les avatars , fichiers joints, messagerie interne, pages générées.
Coté mémoire de scripts, il faudra que ça tourne, donc n’envisagez pas Buddypress ou du communautaire sur un mutualisé, à moins qu’il ne soit pas ou très peu fréquenté. Au début ça ira très bien, quand il n’y a personne… ensuite boum boum. Si vous commencez à ne plus pouvoir ajouter un plugin ou un thème sans devoir désactiver tous les autres, ou impossible de mettre à jour votre CMS automatiquement, c’est le signe annonciateur du couperet de votre hébergeur. Mais si c’est le cas dès le départ alors que votre site est vide, râlez et demandez à être migré sur un autre serveur. Votre hébergeur est quand même tenu au minimum.
Exemples:
a) Admettons 100 visiteurs par jour, une moyenne de 10 pages web vues par chaque visiteur. Le poids de vos pages web ont une taille moyenne de 50 Ko par page (page couleur blanche, une image). Trafic mensuel minimal nécessaire est : 100 visiteurs/j x 10 pages/internaute x 50 ko/page = 1.45 Go/mois.
b) Même chose mais vos pages web sont lourdes (vidéos, photos plein écran ou beaucoup d’images lourdes, musiques, lourd design coloré). Disons 100 Ko (ce qui est peu) : 2,9 G/mois.
c) Votre site est conçu léger mais bien fréquenté avec 1000 visiteurs/mois pour une moyenne de 10 pages vues/internaute : on tourne déjà à 15 G/mois de trafic.
d) 5000 visiteurs/jour, 20 pages vues/visiteurs, taille moyenne de 50 ko par page vue, bingo à 145,4 Go de trafic mensuel.
e) Vous êtes gros consommateur d’animations flash, d’images, de vidéos, musique et vous animerez un blog ou une boutique qui comptera beaucoup d’utilisateurs en ligne en même temps. Comptabilisez tout ça, on peut arriver à dans 800 G/mois
Entre le site vitrine qui ne consomme rien un blog de particulier sans flaflas, une petite PME qui va tourner autour de 20G et un site de Geek ou populaire…
Sachez enfin que tous les hébergeurs ne sont pas seulement des commerciaux, il y a encore des gens passionnés et qui aiment leur travail. Écrivez, téléphonez et posez leur vos questions si vous n’arrivez pas à évaluer vos besoins. Mais soyez précis… Multi-sites n’est pas un gros site, Buddypress n’est pas ‘beaucoup d’inscrits’, petit forum, gros forum, site portail, petite ou grosse boutique, etc.
11) EN CAS DE LITIGE ET PRÉVENTION
En cas de litige avec un gros hébergeur, c’est l’histoire de David contre Goliath. Bataille serrée et quasi perdue. Sauf si vous avez pris quelques précautions dès le départ. On perdra peut être la guerre mais pas toutes les batailles. N’attendez pas d’entrer en litige ou de voir votre site bloqué, prenez quelques précautions.
Solution préventive: achetez votre nom de domaine principal chez un Registar indépendant de votre hébergement et faites régulièrement des sauvegardes de vos dossiers et de vos bases de données. Utilisez le nom de domaine gratuit du pack comme espace de tests ou garez-le, ou faites-le pointer sur le domaine principal. Ainsi, en cas de litige avec votre hébergeur ou de blocage total de votre site, vous avez tout en main pour migrer votre web ailleurs en quelques heures. Particulièrement crucial si vous êtes un professionnel indépendant. Si c’est trop tard et que vous avez déjà tout acheté, vous pouvez migrer vos noms de domaine ailleurs. Il suffit seulement d’entrer les DNS de votre hébergeur chez le Registar. Au pire votre blog perdra une journée en ligne, pas plus.
Si votre site, encore vide, ne tourne pas bien dès le départ, mettez l’hébergeur en demeure. Il est tenu à une obligation de service. Trop fréquemment j’effectue des installations pour des clients sur un hébergement qui rame alors qu’il n’y a encore rien dessus (par définition). Dans ce cas vous êtes endroit de réclamer. Envoyez un courrier.
Enfin, lisez les quelques points de cette avocate spécialisée , cela répondra peut être à quelques questions : Murielle Cahen, dossier Droit et Internet.
J’essaierai d’étoffer cette rubrique « litiges » dans des articles à venir. Si vous connaissez de bons liens, partagez-les.
« Faites ce que je dis, pas ce que je fais »… Hélas, l’hébergement de ce blog n’est pas distinct de mon nom de domaine. J’effectuerai sous peu la démarche, mais voilà, mes conseils sur ce point ne sont pas encore appliqués.
Excellent billet avec beaucoup d’informations que j’aurais vraiment aimé avoir avant de choisir mon hébergeur
et mon abonnement.
On peut même ne rien perdre, à partir du moment où l’ancien hébergement fonctionne toujours. Il suffit juste de s’assurer que, pendant 48 h 00, le coeur du site reste inchangé. Ainsi, tant les Dns ne seront pas propagées, les visiteurs seront redirigés vers l’ancien hébergeur.
Pour les sites avec des commentaires, il suffit de les désactiver temporairement, ou de fusionner les tables, opération plus délicate.
D’expérience, les Dns gèrent la mise en cache rapidement : au bout d’un délai de quatre heures, la plupart des requêtes suivent les nouvelles directives.
Pour l’achat du nom de domaine, je dirai qu’il n’y aucun problème à passer par son hébergeur, à deux conditions :
– qu’on soit bien mentionné comme propriétaire (à vérifier avec une commande Whois),
– qu’on dispose du code de déverrouillage pour changer de Registrar.
Sinon, l’acteur le plus performant du marché me semble être BooykMyName une filiale de Free. L’interface peut sembler aride, mais l’outil est complet, y compris pour gérer les Glue Records, et les prix (achat, renouvellement, transfert…) sont les plus bas du marché. En décembre 2010, les noms de domaine en .eu étaient même vendu à un euro pour l’année (non renouvelable, hélas) !
Bonjour Vincent
Oui c’est exact pour les DNS, merci d’avoir souligné ce détail.
Pour Bookmyname, c’est le moins cher mais il ne protège pas les données privatives dans le Whois. C’est pour ça que je suggère plutôt OVH pour les noms de domaine. Mais cela fera partie du prochain article 🙂
… Nous en reparlerons, mais BookMyName applique strictement la règlementation en la matière. Il est illicite de cacher les données personnelles, par exemple, pour un domaine en .com, comme l’indique l’Internic : FAQs on the Domain Names, Registrars, and Registration. Sa position est parfaitement logique. Donc la politique des bureaux d’enregistrement, qui propose de cacher les données, est pratique, mais condamnable. 🙂
En revanche, quand on enregistre un domaine en .eu avec BookMyName, les données privatives sont cachées, conformément aux prescriptions de l’Eurid : Eurid.
Salut Vincent
Je comprends, mais je me fiche un peu que ce soit théoriquement illicite pour des particuliers. Seul compte mon souci de ne pas tomber dans la grande poubelle du web en affichant nom, adresse et téléphone personnels pour le monde entier. Il y a des détraqués sur la Toile, aussi ce souci est-il partagé par un grand nombre. Une société c’est différent, elle est tenue d’afficher ses coordonnées. Par ailleurs on ne sait pas comment, à l’avenir, ce genre de données seront utilisées ou pas. Donc pour moi il est important de conserver mes propres données personnelles à l’abri. Si la Justice doit trancher sur le cas de quelqu’un, ces données sont livrées automatiquement par le Registar, donc la question est réglée.
Bonjour,
Je vais encore avoir l’air de critiquer mais vous mélangez un peu beaucoup les hébergeurs. Mettre dans la même catégorie 1&1, Infomaniak et… non je ne reviens pas sur cette marque dont nous avons déjà parlé et à laquelle vous faites une pub qui me surprend, mais GoDaddy, par exemple, me parait saugrenu.
Infomaniak, c’est la « qualité suisse », la proximité, la réactivité au bout du fil. C’est nickel. Et ça se paye… !
1&1, je passe, pour ma part, que des mauvaises expériences. J’avais d’ailleurs fait l’erreur d’avoir chez eux hébergement et nom de domaine, erreur de jeunesse… Mais GoDaddy, par exemple, rien à voir… !
Il faudrait vraiment distinguer le low-cost du « normal ». Entendons-nous : je suis un utilisateur de low-cost et je m’en contente tout à fait. Suffit de bidouiller un peu. D’ailleurs, un truc : un gros low-cost us est une très bonne solution pour nous (dès lors qu’il n’y a pas de coupure entre les USA et l’Europe, ce qui n’est pas arrivé depuis très longtemps mais qui reste un vrai risque, sans doute) car, en cas de pb, la hot-line, eu égard au décalage horaire, est bcp plus dispo, et donc totalement réactive (dès lors qu’elle est 24/7, évidemment). Bon, il faut baragouiner l’english sur son clavier mais c’est bien pratique.
Pour ma part, chez un hébergeur de ce type où je suis depuis 3 ans, j’ai dû avoir recours 4 fois au support par chat. A chaque fois parce que je m’étais lancé dans des manoeuvres qui dépassaient mes compétences. A l’autre bout, le support (un hot-liner sans doute étudiant qui s’ennuyait ferme dans la nuit) m’a dépanné avec gentillesse, humour et rapidité ! Je ne donne pas le nom de cet hébergeur (je vous le donnerai en privé si vous voulez) sinon qui-vous-savez va dire que je travaille pour eux. Il y en a d’autres, ils proposent exactement les mêmes services (illimité, noms de domaine, domaines et sous-domaines illimités, accès via les outils les plus récents…) à peu près pour le même prix, représentant moins de 100 €/an.
Bien à vous
Bonsoir,
Merci de votre participation. Mais je vous serais reconnaissante de commenter avec un ton plus calme et plus respectueux envers tout le monde svp, afin de respecter chacun et ne pas transformer cet espace en forum où l’on s’empoigne.
Par ailleurs je ne mets pas ces hébergeurs « dans la même catégorie », j’énonce seulement une liste de possibles. A chacun de faire son choix selon son sentiment, ce que j’en ai dit et ce qu’il en sait pour l’avoir lu ailleurs.
Une bonne soirée à vous.
Perso je n’imposais pas d’hébergeur à mes clients, du coup j’ai un peu fait le tour de la place. Il y a vraiment à boire et à manger ;-p
Pour les petits budgets parfaitement anglophones, le mieux est de passer faire ses courses sur http://www.webhostingtalk.com
Avec le nom de votre hébergeur, faite une petite recherche dans le forum, et vous connaitrez rapidement l’avis des autres webmasters.
il y a souvent des hébergeurs qui y lancent des promos très intéressantes.
Pour les francophones, l’équivalent est http://www.phwinfo.com/comparatif/
Coté forum, rarement des promos, mais si vous pousez une question dans le forum, comme la majorité des hébergeurs et technos sont présents, vous avez toujours une solution. l’intelligence collective n’est pas qu’un mythe 😉
@Remy
C’est étonnant, j’admin des blog wordpress chez 1&1 sans aucun soucis. des hébergeurs plus mauvais et plus chers, j’en ai une liste longue comme le bras 😉
Bonjour Laurent,
Merci pour votre participation. Je partage votre avis. Voir mon commentaire en ce sens sur un autre article.
Bonjour,
Je n’impose rien à mes clients, manquerait plus que ça! Mais s’ils me demandent mon avis, je leur propose un hébergeur qui me semble adéquat selon leur projet. Donc mon avis sera chaque fois différent car le choix d’un hébergeur doit tenir compte de la nature de son site et de son budget.
En ce qui concerne le lien que vous proposez, phpinfo, ça commence à dater sérieusement… et le fameux comparatif est tellement long qu’il ne sert pas à grand chose. Il y a pléthore d’hébergeurs dont on n’a même jamais entendu parler. Pas très pratique.
toute petite remarque technique l’amie a propos de la notion de « add on domain » qui est différente selon… les systemes ! Sous un cpanel le addon domaine permet de creer un autre site dans le meme espace d’hébergement, ce dont tu parles est le « parked domain » cela peut preter a confusion 🙂 (ahhhhhhh la magie cpanel 🙂 )
Mais non, je parle bien du Addon domaine dans le Cpanel. Enfin je l’explique dans le dossier partie 5. Mais tu as raison je n’ai simplement pas nommé le fait de réserver son nom de domaine gratuit pour ne rien en faire, qui est effectivement du garage de domaine, le parked domain.
J’arrive un peu tard dans la discussion, mais suite au dossier sur les meilleurs hébergeurs, j’ai ouvert un compte sur Westhost pour tester un peu des fonctionnalités que mon hébergeur français ne tolère pas sur wordpress à l’heure actuelle (XML Import, ce genre de choses). Petit problème toutefois, Westhost m’apprend qu’on ne peut pas choisir son IP française en étant hébergé chez eux. Je crois que ça peut poser un problème avec un site français et ne sais pas trop vers quel hébergeur migrer… o2switch , à ce prix, doit avoir ses limites, non?
Encore merci pour ces articles (et le blog, d’ailleurs). Je serais ravie d’avoir plus de conseils là-dessus.